Mau-Na-Lizza
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| Mauritius-Nathanaël
Lizza (Mau-Na pour ses proches) était un artiste peintre
du XVe sciecle, relativement connu, mais au sujet duquel
circulent de nombreuses informations fausses. Étant donné qu'il n'avait pas encore inventé la photographie, son apparence reste de nos jours très mystérieuse car on ne dispose de lui que deux auto-portraits, plutôt discordants. |
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La particularité la plus connue de Mau-Na Lizza est qu'il peignait uniquement des portraits et qu'il numérotait ses tableaux. Ses œuvres les plus célèbres sont Léonardo 26 et Adriana 42. |
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De la même période, nombreux sont les portraits moins connus, mais dont les mérites sont à leur manière indéniables, par exemple (on ne peut pas tous les citer) Pierre 31 et Édith 33. |
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Avant ces œuvres, dont certaines ont été très médiatisées, Mau-Na Lizza s'était préalablement fait remarquer par des portraits comme Dominique Beau 10 et Raoul Cau 20. |
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Mais ses début d'artiste professionnel ont été marqués par quelques portraits déjà bien élaborés, tels que Catherine Médy 6 et François Declos 7. |
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On a longtemps cru que sa première œuvre, réalisée à l'adolescence, était Biloute 1 (prononcer : “heinnn...”), mais on a découvert assez récemment un portrait plus ancien, non numéroté, encore en cours d'expertise, qu'il aurait peint dès quatre ou cinq ans. Si son authenticité est confirmée, les spécialistes suggèrent que cette première œuvre soit numérotée Karl 0. |
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On a de même longtemps cru que sa dernière œuvre, réalisée à plus de cent vingt ans, était Hélène Vin 100, mais des chercheurs ont très récemment retrouvé (dans une collection privée, longtemps restée secrète) un portrait étrangement caractéristique de son style et intitulé de façon stupéfiante... Cecil B. 2000. |
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Bien que les analyses soient encore en cours, certains ont évoqué la possibilité que Mau-Na Lizza ait passé un pacte avec sa tante (dernière des temples, hier, fausse-t-elle l'histoire de l'art ?). Serait-il possible que Mau-Na Lizza soit encore vivant ? !... Il paraitrait que, ruiné et ne trouvant plus pour jouer de date chanceuse, les flots de collyre dans ses yeux ne remédiaient en rien à la faiblesse de sa peine. Ses dernières œuvres lui auraient permis d'obtenir quelques pépites pour acquérir une énorme bête qui, le soir, ne demande jamais pour qu'on la borde. Les derniers l'ayant aperçu prétendent l'avoir vu disparaître dans une foule complètement molle... |
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