| • L'influence de est
:
. • L'influence de A est : . • Au total, avec la relation “pessimiste” : . • Les mesures des angles et peuvent être corrélées, par exemple si elles sont obtenues avec un même goniomètre comportant une part d'incertitude systématique. On peut malgré cela souhaiter estimer l'incertitude statistique en ignorant les corrélations : . ◊ remarque : dans de nombreuses circonstances, la différence entre ces deux modes d'évaluation n'a que peu de conséquences sur l'interprétation des phénomènes physiques. • On en déduit l'indice et sa précision “probable” : . ◊ remarque : et sont sans unité... il ne suffit pas d’utiliser et , et avec la même unité : l’utilisation des fonctions trigonométriques impose en principe l’usage des radians (équivalents à une grandeur sans unité)... ou bien il faut appliquer un coefficient correcteur dans le calcul des dérivées. |
| 1. | • En coupant la surface latérale d'un cône le
long d'une droite passant par le sommet, on peut la déplier
“à plat” et obtenir ainsi une portion de disque.
![]() • Soit la longueur du côté du cône, le périmètre de la base est et l'aire de la surface latérale est une proportion de l'aire du disque de rayon . • L’aire latérale d’un cône droit est donc : . ◊ remarque : l’aire élémentaire délimitée par le sommet et par un élément du bord de la base est : ; ainsi . |
| 2. | • On a mesuré :
et
. • Les influences de et sont : ; . • Au total, avec la relation “pessimiste” : . • Les mesures des longueurs et peuvent être corrélées, par exemple si elles sont obtenues avec une même règle comportant une part d'incertitude systématique. On peut malgré cela souhaiter estimer l'incertitude statistique en ignorant les corrélations : . ◊ remarque : dans de nombreuses circonstances, la différence entre ces deux modes d'évaluation n'a que peu de conséquences sur l'interprétation des phénomènes physiques. • Finalement on peut proposer : . |
| • Les influences de
et sont
:
;
. • Au total, avec la relation “pessimiste” : . • Les mesures des quantités et peuvent être corrélées, par exemple si elles sont obtenues avec un même instrument comportant une part d'incertitude systématique. On peut malgré cela souhaiter estimer l'incertitude statistique en ignorant les corrélations : . ◊ remarque : dans de nombreuses circonstances, la différence entre ces deux modes d'évaluation n'a que peu de conséquences sur l'interprétation des phénomènes physiques. • On en déduit le résultat et sa précision “probable” : . |
| 1. | • Le courant de court-circuit est :
. • L'estimation rudimentaire de l'incertitude est : . • Si on suppose que les incertitudes sont de nature uniquement aléatoire, on peut proposer aussi l'estimation : . |
| 2.a. |
• Si on impose une valeur de plus
grande, la droite la mieux ajustée bascule pour passer au
mieux par le barycentre (pondéré) des points mesurés ; cela
correspond à une augmentation de
(valeur absolue de la pente).![]() |
| 2.b. |
• Dans un plan de coordonnées et , les courbes d'égales valeur de sont des droites passant par l'origine et de pente : . |
| 2.c. | • Pour le mode de calcul (sans
corrélation)
, la zone d'incertitude correspond au rectangle de
largeur et
de hauteur
.
L'intervalle de valeurs
peut être retrouvé en traçant les droites limites.![]() • Pour le mode de calcul (sans corrélation) , la zone d'incertitude correspond l'ellipse “droite” de largeur et de hauteur . On peut la tracer sous forme paramétrique en considérant et . L'intervalle de valeurs peut être retrouvé en traçant les droites limites. ![]() |
| 2.d. |
• Pour le mode de calcul avec corrélation . |
| 2.e. | • La zone d'incertitude correspond l'ellipse
“oblique” ; on peut la tracer sous forme paramétrique à
l'aide d'un changement de notations. • Dans le cas précédent, on pouvait écrire l'équation de l'ellipse sous la forme en considérant et . ![]() • Dans le cas étudié ici, l'équation est de la forme avec . On peut alors utiliser et donnant . ◊ remarque : le choix du changement de variables le plus efficace peut se déduire de la diagonalisation de la matrice . • En posant par ailleurs : et , ceci donne : et . L'intervalle de valeurs peut être retrouvé en traçant les droites limites. ◊ remarque : on retrouve une projection horizontale de l'ellipse correspondant à et une projection verticale correspondant à . |
| 3. |
• L'ajustement du logiciel spécialisé est cohérent : il aboutit au même résultat quelle que soit la paramétrisation choisie. |
| 1. | • La résistance est :
. • L'estimation rudimentaire de l'incertitude est : . • Si on suppose que les incertitudes sont de nature uniquement aléatoire, on peut proposer aussi l'estimation : . |
| 2.a. |
• Si on impose une valeur de plus
grande, la droite la mieux ajustée bascule pour passer au
mieux par le barycentre (pondéré) des points mesurés ; cela
correspond à une diminution de
(intersection avec l'axe des abscisse).![]() |
| 2.b. | • Dans un plan de coordonnées et , les courbes d'égales valeur de sont des droites passant par l'origine et de pente : . |
| 2.c. |
• Pour le mode de calcul (sans
corrélation) , la zone
d'incertitude correspond au rectangle de largeur et
de hauteur
.
L'intervalle de valeurs
peut être retrouvé en traçant les droites limites.![]() • Pour le mode de calcul (sans corrélation) , la zone d'incertitude correspond l'ellipse “droite” de largeur et de hauteur . On peut la tracer sous forme paramétrique en considérant et . L'intervalle de valeurs peut être retrouvé en traçant les droites limites. ![]() |
| 2.d. | • Pour le mode de calcul avec corrélation . |
| 2.e. |
• La zone d'incertitude correspond l'ellipse
“oblique” ; on peut la tracer sous forme paramétrique à
l'aide d'un changement de notations. • Dans le cas précédent, on pouvait écrire l'équation de l'ellipse sous la forme en considérant et . ![]() • Dans le cas étudié ici, l'équation est de la forme avec . On peut alors utiliser et donnant . ◊ remarque : le choix du changement de variables le plus efficace peut se déduire de la diagonalisation de la matrice . • En posant par ailleurs : et , ceci donne : et . L'intervalle de valeurs peut être retrouvé en traçant les droites limites. ◊ remarque : on retrouve une projection horizontale de l'ellipse correspondant à et une projection verticale correspondant à . |
| 3. | • De façon générale, le résultat de
l'expression quadratique est inférieur à celui de
l'expression linéaire. Il est ainsi souvent considéré que la
seconde est trop approximative et conduit à une
surestimation systématique. • En fait, lorsque la corrélation est positive, l'incertitude est encore plus petite que le résultat de l'expression quadratique ; ceci peut donner l'impression de confirmer le jugement précédent. • Toutefois, au contraire, lorsque la corrélation est négative (cas étudié ici), l'incertitude est souvent plus proche du résultat de l'expression linéaire que de celui de l'expression quadratique. • Si on ignore la corrélation et qu'on veut éviter de sous-estimer les incertitudes, il est alors parfois prudent d'utiliser l'expression linéaire. |