• Pour
avec
la transformation de Lorentz (locale) correspond à :
◊ remarque : pour ; et ; mais reste défini. • La métrique limitée au déplacement radial serait ainsi encore plus simple que celle de Lemaître : . En particulier les trajectoires des photons seraient des droites (). • Le problème est ensuite de déterminer pour exprimer la partie angulaire de la métrique, mais aussi pour savoir interpréter à quoi correspond . Puisqu'on part de fonctions de , il faut déterminer et (ou des combinaisons) puis inverser. Or on constate que n'est pas une différentielle totale : pour obtenir une primitive il faut la multiplier par un facteur intégrant tel que . • Si on cherche une solution simple indépendante du temps, la considition donne : . Le choix de la constante peut alors être fait de façon à simplifier l'expression de . • Avec on obtient ainsi : . • En posant : , on peut ainsi écrire : ; . • Finalement : avec ; la singularité est donc éliminée et on retrouve : . |
| • Pour la transformation de Lemaître
généralisée correspondant à :
, on peut écrire (avec
comme unité) :
. • Au voisinage de on constate que le radical varie de façon régulière : . Calculée au premier ordre, l'intégration donne donc toujours le même comportement qu'avec , pour lequel . |
| 1.a. | • D'après
;
, on peut écrire :
• Avec la variable intermédiaire on obtient : . • Avec la variable intermédiaire telle que on obtient : . • On peut alors linéariser : . • Une primitive est : . • Finalement : . ◊ remarque : on choisit la constante d'intégration nulle. |
||
| 1.b. | • D'après
pour
et avec
comme unité : . • Avec la variable intermédiaire on obtient : . • Avec la variable intermédiaire telle que on obtient : . • On peut alors linéariser : . • Une primitive est : . • Finalement : . ◊ remarque : on choisit la constante d'intégration nulle. |
||
| 1.c. | • Pour
on peut toujours considérer
où est
le sommet de la trajectoire. • D'après et avec comme unité : . • Avec la variable intermédiaire on obtient comme précédemment : . • De façon plus générale on obtient donc : . |
| 2.a. | • D'après
, on peut écrire : . • Pour et en prenant comme unité, ceci donne : . • Avec la variable intermédiaire on obtient :
• En passant par on obtient une primitive de :
• La contribution de est de même : . • Au total : . ◊ remarque : la composante imaginaire associée à se simplifie donc ici (c'est à dire qu'il n'y en a pas pour ). • L'expression est nettement moins simple mais de forme analogue à celle obtenue pour (sauf que le comportement à l'infini est d'allure hyperbolique plutôt que parabolique). ![]() |
||||||||||||||
| 2.b. | • Pour
et avec
comme unité :
. • Ceci peut s'écrire : . • En passant par on obtient : d'où une primitive : . • Pour on peut par ailleurs passer par donnant : . • Une primitive est alors : . • Pour on peut de même utiliser donnant : . • Une primitive est alors : . • Au total : . ◊ remarque : la composante imaginaire associée à se simplifie donc ici (c'est à dire qu'il n'y en a pas pour ). • L'expression est moins simple mais de forme analogue à celle obtenue pour (sauf que le comportement pour les grandes valeurs de est d'allure elliptique plutôt que parabolique). ![]() |
||||||||||||||
| 2.c. | • Pour
et avec
comme unité : . • Ceci peut s'écrire :
• Le troisième terme se traite aussi un peu comme précédement : pour on peut passer par donnant :
◊ remarque : ce terme, qui peut s'exprimer avec un logarithme, peut s'intégrer en notations complexes ; il fait alors apparaitre une contribution provenant de et généralement omise (pour la variable comporte une partie imaginaire constante qui n'influe pas sur ). • Il s'ajoute ici le second terme (nul pour ) où on peut ramener l'argument du radical à la trigonométrie avec : . • Il reste par contre pour ce terme un problème de constante d'intégration, afin qu'il soit nul à l'origine ; on trouve : . • Au total :
![]() |
• Pour
la transformation de Lorentz (locale) correspond à :
◊ remarque : pour ; et ; mais reste défini. • Ceci donne : ; . • En isolant et puis en reportant, on obtient : ; la métrique limitée au déplacement radial serait ainsi encore plus simple que celle de Lemaître. • Le problème est ensuite de déterminer pour exprimer la partie angulaire de la métrique, mais aussi pour savoir interpréter à quoi correspond . Puisqu'on part de fonctions de , il faut déterminer et (ou des combinaisons) puis inverser. Or on constate que ni ni ne sont des différentielles totales : pour obtenir une primitive il faut les multiplier par des facteurs intégrants. • Le plus simple est ici de considérer : ; . • Ceci donne en inversant une métrique dépourvue de singularité pour :
• Il est important de constater que ce résultat est obtenu avec une vitesse de “contraction” sans aucune signification physique : en pratique toute expression de vitesse tendant vers pour aboutit à une simplification de singularité. Cela confirme que la simplification n'est pas due à une contraction de l'espace. |
• Pour
la transformation de Lorentz (locale) correspond à :
◊ remarque : pour ; et ; mais reste défini. • Ceci donne : ; . • En isolant et puis en reportant, on obtient : ; la métrique limitée au déplacement radial serait ainsi encore plus simple que celle de Lemaître. • Le problème est ensuite de déterminer pour exprimer la partie angulaire de la métrique, mais aussi pour savoir interpréter à quoi correspond . Puisqu'on part de fonctions de , il faut déterminer et (ou des combinaisons) puis inverser. Or on constate que ni ni ne sont des différentielles totales : pour obtenir une primitive il faut les multiplier par des facteurs intégrants. • Le plus simple est ici de considérer : ; . • Ceci donne la métrique : dépourvue de singularité pour . • On peut écrire : ; on en déduit : . • Par ailleurs : ; on en déduit : . ◊ remarque : la composante imaginaire associée à se simplifie donc ici (c'est à dire qu'il n'y en a pas pour ). • Ces expressions ont la même allure que celles obtenues pour la métrique de Lemaître (généralisée), mais l'expression est peu simple : . • Il est important de constater que ce résultat est obtenu avec une vitesse de “contraction” sans aucune signification physique : en pratique toute expression de vitesse tendant vers pour aboutit à une simplification de singularité. Cela confirme que la simplification n'est pas due à une contraction de l'espace. |
| 1.a. | • Le mouvement radial des photons correspond
à :
;
. ◊ remarque : on se limite au demi-plan . |
| 1.b. | • D'après les expressions indiquées, les
variations ( et
) des
paramètres d'Eddington-Finkelstein correspondent à
:
. • La famille de courbes d'Eddington-Finkelstein décrivant les photons descendants correspond au paramètre : (ainsi pour fixé sur une telle courbe ). |
| 2.a. | • Les équations du mouvement peuvent se
déduire du lagrangien quadratique
(paramétré par
). • On obtient ainsi : , donc . Ceci correspond à , donc on peut choisir . • Le long d'une trajectoire, il semble alors logique de proposer : . |
||||
| 2.b. | • Pour un déplacement quelconque, il faut
tenir compte du fait que le repérage
n'est pas statique : les horloges sur les différentes
courbes ne sont pas synchronisées. • Ceci peut se vérifier en reportant dans la métrique les deux expressions précédentes ; le décalage de synchronisation est caractérisé par la présence du terme non diagonal :
• En inversant le système de deux expression :
• On peut par contre chercher à adapter de façon à simplifier le plus possible la métrique ; on peut alors proposer de choisir correspondant à la métrique : . • Il est alors intéressant de remarquer que peut s'exprimer en fonction du paramètre d'Eddington-Finkelstein : ; ; c'est à dire qu'on retrouve la métrique d'Eddington-Finkelstein. |
| 1.a. | • En substituant dans la métrique de
Schwarzschild, on peut écrire la métrique sous la forme
(omettant la partie angulaire) :
. • Cette expression semble éviter la “singularité divergente” du coefficient de Schwarzschild, mais semble laisser subsister la “singularité temporelle” associée à l'annulation du coefficient . |
||||||
| 1.b. | • On obtient ainsi :
; il est alors utile de calculer les constantes. • Pour les photons donc (sinon il n'y aurait pas de propagation). Il n'y a donc dans ce cas aucun problème, seul le cas des particules massives est à préciser. • Pour les particules partant de (éventuellement l'infini) avec une vitesse (éventuellement nulle) :
• La solution est à écarter car l'approximation montrant la non divergence indique qu'il faudrait (pour ) ce qui est impossible. Cette solution apparente vient du fait qu'on a initialement multiplié par pour simplifier l'équation. • Il reste donc : c'est à dire . Les deux solutions sont soit négatives, soit complexes, donc ne s'annule pas et la variation de est monotone. |
||||||
| 1.c. | • L'annulation de dans
la métrique indique que pour
la variable
devient du genre espace ; il semble donc peu raisonnable de
s'en servir de paramètre temporel. • Pour raisonner sur ce qui est subi par une particule en mouvement, il faut considérer que les horloges de ce repérage sont désynchronisées de : . Les durées “vécues” dépendent donc plutôt de . • En outre, la distance radiale parcourue est : , où la métrique tridimensionnelle est l'inverse de la partie spatiale . • Il est alors préférable d'écrire la métrique sous la forme :
|
| 2.a. | • Si par contre on change aussi la coordonnée
radiale de façon variable en fonction du temps, cela revient
à changer de référentiel. On peut alors considérer :
◊ remarque : dans le référentiel en comouvement, il n'y a pas de décalage des horloges. |
||
| 2.b. | • Une telle démarche est analogue à celle de
Lemaître ; le référentiel associé à
correspond à :
. Ainsi :
. • La vitesse d'entraînement est : ; on peut vérifier que la méthode de Lemaître fonctionne avec une telle expression (même si elle n'a pas de justification physique). |
| 3. | • La relation
impose :
(sens sortant) ;
(sens entrant). Les tracés, obtenus par intégration, des
cônes de lumière émis depuis un point intérieur à la
singularité semblent indiquer qu'aucune particule ne peut en
sortir ; cela doit être interprété avec toute la réserve
associée aux repérages de type Lemaître.![]() ◊ remarque : de façon analogue peut décrire un référentiel en expansion ; pour d'autres calculs, Eddington et Finkelstein ont aussi utilisé : et . |
• Le mieux est de choisir une origine commune
pour la montée et la descente d'une particule choisie comme
référence :
|
| 1. | • Pour la montée :
. • Ainsi (avec comme unité) : . • Pour on obtient : . • Ceci peut s'écrire :
• En passant par on obtient : . • Pour on peut par ailleurs passer par donnant :
• On veut que corresponde au passage par :
◊ remarque : étant donné que l'expression diverge pour , il est impossible de raccorder par continuité à ce niveau, donc la constante d'intégration pour pourrait être différente de celle imposée en ; le problème est analogue au prolongement de comme primitive de pour ; le passage par les complexes donne dans ce cas . ◊ remarque : on peut ensuite en déduire et . |
| 2. | • Pour la descente, avec
, la vitesse opposée donne :
. • Avec : on obtient dans ce cas : . • Avec : on obtient dans ce cas : . |
| 1.a. | • On considère
avec un “sommet” de trajectoire pour
. • La métrique peut s'écrire : avec . • Pour on obtient et la variable n'est plus du genre espace. Ceci est lié au fait que les particules de référence du repérage ne dépassent pas cette limite. |
| 1.b. | • Afin de chercher un prolongement de la
représentation de base, pour
, on peut repartir des relations de Lemaître
:
;
. Le sommet de
la trajectoire des particules de référence correspond
à
; d'après
, la vitesse d'entraînement correspond à :
. • Puisque, pour , la vitesse d'entraînement tend vers zéro à l'approche de la limite, on pourrait envisager au delà une vitesse d'entraînement en expansion (la continuité impose de respecter la limite pour ). • Cela ne permet toutefois pas de raccorder puisque ce n'est alors plus mais qui est une fonction simple de ; seule une situation comme celle des coordonnées isotropes, à la limite de l'horizon, permet un prolongement : il n'y a pas de problème de signe car de l'autre côté augmente à nouveau quand continue à diminuer (les deux changements de signe se compensent). |
| 2. | • Pour les points situés plus loin que on
obtient
et on peut envisager d'utiliser des vitesses imaginaires,
dont rien n'interdit de donner une représentation graphique
dans le plan réel (dans la zone non utilisée par la
représentation limitée à
). • La quantité est prolongeable pour à l'aide de la partie imaginaire . La quantité peut être prolongée pour en considérant : qui peut conduire à : puis . Pour obtenir un prolongement tel que soit partout croissant en fonction de , on choisit la représentation par . • En pratique (complexe) est représenté par ; ici pour . ![]() ◊ remarque : la diminution de la pente pour caractérise le fait que la partie imaginaire de la vitesse augmente. • La quantité peut être prolongée pour en considérant : qui peut conduire à : avec la propriété : . Ainsi :
![]() |
| 3. | • Connaissant
et
, on peut déterminer
et ; on
peut ainsi représenter
et
dans le prolongement ; ici pour
.
|
| 4. | • Il est ensuite possible de représenter,
comme précédemment, la trajectoire d'une particule en chute
libre depuis l'infini avec une vitesse “initiale” (limite)
nulle.![]() • On vérifie ainsi que les trajectoires sont représentées de façon acceptable : le début de la trajectoire de la particule de référence “classique” correspond à décroissant (mais l'extension de la représentation est moins complètement de type Lemaître et n'a pas une interprétation intuitive aussi directe). |
| • La propriété
correspond à
et la vitesse de la singularité (par rapport aux particules
comobiles) est alors :
. Pour un point atteint au bout d'une durée finie,
cela rend la théorie tout a fait contradictoire. ◊ remarque : il en est de même symétriquement, pour le repérage en expansion. |
| 1.a. | • Pour étudier la méthode de raisonnement, on
peut considérer le cas associé à la transformation de
Lemaître “classique”. • Pour une particule entrante en chute libre verticale, le référentiel de Lemaître en comouvement correspond à : et avec . • Pour sortante, le référentiel en comouvement correspond à : et avec . • Pour étudier dans on peut utiliser avec ( est une coordonnée dans statique, utilisée aussi bien dans ou ) ; pour ce cas varie. • La comparaison donne : (où ). |
||
| 1.b. | • D'après ce qui précède :
. • Par ailleurs pour dans : . De façon analogue pour dans : . • La comparaison donne : . On en déduit en simplifiant : . • En utilisant (d'après ), ceci donne :
|
||
| 1.c. | • En intégrant :
;
(déja connu). Cela permet une représentation paramétrique de
la trajectoire. On fixe la constante d'intégration en
imposant le croisement avec
:
(constant) pour la valeur de
qui donne la coordonnée
de la position d'intersection choisie. ◊ remarque : on omet ici une composante imaginaire pour . • Pour les particules sortantes croisant en , la particule entrante voit s'éloigner de l'astre, moins vite que les photons sortants, en semblant provenir de l'horizon (en principe ne voit pas la partie ). ![]() • Par contre, pour les particules sortantes croisant en , de diagramme semble montrer que la particule entrante voit “tomber” sur l'astre, plus vite que les photons dans le sens sortants (qui, selon l'interprétation usuelle, ne peuvent pas sortir), en semblant provenir de l'horizon. • La différence essentielle est que, par construction, on sait ici que sort. ◊ remarque : inversement de même, pour , il semble à la particule sortante que la particule entrante ne peut pas entrer. • Si on veut préserver l'interprétation usuelle, il faut admettre que le temps semble s'écouler en sens inverse du temps . La relativité restreinte nous habitue à penser que la simultanéité dépend du référentiel, mais aboutir à ce qu'un changement de référentiel conduise ici à retourner l'écoulement du temps sur toute une trajectoire, cela n'a rien d'évident. • Qui plus est, dans cette région , les photons dans le sens sortant, qui semblent ne pas pouvoir sortir, peuvent en réalité peut être le faire. Il est difficile de raisonner de façon analogue pour des particules de masse nulle, puisqu'on ne peut pas se placer dans leur référentiel propre, mais ces photons “sortent” plus vite que toute particule massive... qui peut sortir. • Une façon d'éviter ces contradictions peut consister à admettre que le prolongement pour , bien que mathématiquement possible, est en réalité dépourvu de signification physique. • Mais puisque ces raisonnements utilisent l'invariance par décalage temporel, une autre façon peut consister à éviter les croisements en imaginant un espace-temps initialement en expansion (trou blanc dans le passé), passant par une extension maximale à , puis finalement en contraction (trou noir dans le futur) ; cela ressemble aux métriques comme celles de Novikov ou de Kruskal-Szekeres. |
| 2. | • Une autre démarche consiste à chercher la
transformation de Lemaître généralisée passant de
à . • On peut partir des relations de passage de à (en notant et les coordonnées de ) :
• On peut ensuite reporter dans les relations de passage de à (en notant et les coordonnées d'un point quelconque) : ; . • On obtient ainsi : ; . • Ces relation s'appliquent en particulier à , pour lequel :
• D'après la métrique, la distance parcourue dans est . La vitesse d'entrainement de par rapport à est donc (en norme) : (seul le passage le l'horizon se fait à la vitesse de la lumière, on aboutit même à pour ). • Puisque pour le référentiel évolue à une vitesse supraluminique par rapport à , qui évolue à une vitesse supraluminique par rapport à , on pourrait douter de la validité de la transformation combinée. On peut vérifier qu'en combinant et (tendant même vers l'infini pour ) on obtient : qui n'est jamais supraluminique (si quelque chose était inapproprié pour , ce serait ). Ainsi, si le référentiel en contraction est justifié physiquement, celui en expansion l'est forcément aussi puisqu'on peut trouver un changement de référentiel valide qui passe de l'un à l'autre. • Les tenants de l'existence des trous noirs suggèreront que si les deux référentiels sont possibles, il doit se produire une sorte de “brisure spontanée” de la symétrie mathématique, faisant ainsi que seul le cas en contraction a une réalité physique. D'autres physiciens concluront que c'est plutôt une incohérence du prolongement pour qui est ainsi mise en évidence, rendant contradictoire l'hypothèse des trous noirs. |
| 1. | • Avec les notations isotropes, la métrique
(limitée à la partie radiale) s'écrit :
◊ remarque : on vérifie que passe par un maximum pour . • La transformation de Lorentz correspondante peut s'écrire :
• Pour construire une transformation de Lemaître généralisée adaptée à ces coordonnées, on est conduit à proposer : ; ; . • On en déduit inversement :
• On obtient alors : . • Pour (avec comme unité), en passant par l'intégration donne :
![]() ◊ remarque : c'est qualitativement ce qu'on obtient avec la coordonnée “classique” en raccordant les zones en contraction puis en expansion (de l'autre côté de l'horizon), après élimination des zones ; le raccordement est sans problème car ici et ne changent pas de signe. • On obtient par ailleurs : . • Pour (avec comme unité), en passant par l'intégration donne :
• Avec une échelle horizontale logarithmique (mieux adaptée aux coordonnées isotropes), on obtient la représentation ci-après (avec comme unité). ◊ remarque : ici la convention de signe pour dans la région est conforme à , dans la mesure où l'équation du mouvement indique que reste croissant. ![]() |
| 2. | • Les lignes caractérisant
sont ici encore des droites, mais leur écartement tend vers
l'infini quand
. Ceci est associé au fait que dans ces conditions la
variable “classique”
recroît vers l'infini. • On peut tracer un diagramme de la façon usuelle, mais il est préférable d'adapter le choix (arbitraire) de l'origine : et pour (comme ) et . • Pour : ; ; . • Pour : ; ; . ![]() • Pour : ; (avec ) ; ; . • Pour : ; ; ; . ◊ remarque : pour on utilise bien que augmente, car diminue (contraction). ◊ remarque : ici la constante d'intégration de est “arbitraire” (choisie nulle, comme pour le cas “classique” de Lemaître) car on ne peut pas raccorder à l'infini. ![]() |
| 3. | • Pour représenter les oscillations de part
et d'autre de l'horizon, on peut utiliser l'expression de la
vitesse de chute, reliant
et
:
. • Pour une particule en chute libre radiale, avec un somment en , l'intégration donne (avec les signes supérieurs pour la montée) : , où est l'instant de passage au sommet. • Ainsi : . • On peut alors choisir l'origine du temps (arbitraire) à l'instant où la chute atteint l'horizon (en fait cela fixe ). Mais ce cas particulier () correspond à un point à l'infini dans le repérage ; il faut donc simplifier pour passer à la limite :
• Il est alors plus lisible de tracer le graphique en fonction de l'abscisse (plutôt que ), afin de recadrer facilement l'échelle verticale. ![]() |