Historique


• Comme l'indiquent ces dates, mes réflexions sur ce thème ont débuté il y a déjà assez longtemps. Le tout début est d'environ 1967 lorsque, élève de première C, j'ai étudié la relativité restreinte (dans un livre déniché par chance à la bibliothèque municipale) ; mais surtout ensuite lorsque, thésard au CEA en physique des particules élémentaires, j'ai eu l'occasion d'assister à de nombreux séminaires et conférences (CNRS, CERN, école d'été de Gif sur Yvette...) à partir de 1975 environ.

Quelques unes de mes conclusions datent de cette époque. D'autres sont venues s'ajouter ensuite, très progressivement puisque cette recherche ne constitue pas mon activité principale (lorsque le thésard que j'étais a commencé à proposer ses idées sur ce sujet, il s'est mis  à entendre des commentaires comme : “ah non, vous n'allez pas vous aventurer vous aussi dans ce genre de travail, il y a déjà assez de [untel] qui sombre en plein délire...” ; bref : même pour un étudiant plutôt brillant et bardé de diplômes, aucune embauche possible dans cette voie ; désirant gagner ma vie en essayant de me rendre utile, j'ai alors choisi le métier de professeur).

Le travail de recherche isolé a l'avantage d'incliner à explorer des voies plus originales, en se laissant moins influencer par les “raisonnements” dont on a tellement entendu parler qu'on ne parvient plus à en sortir (du type : “on admet généralement que...”). Il a l'inconvénient de progresser beaucoup plus lentement (je n'y passe guère qu'une demi heure par semaine en moyenne) et d'éviter plus difficilement les impasses : on risque de finir par se créer ses propres cercles vicieux dont on ne parvient plus à sortir.

C'est pourquoi j'ai décidé de proposer mes idées à la discussion par le réseau internet.



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