Contrairement au cas statique, la métrique d'un astre en
rotation dépend de sa répartition d'énergie-impulsion.
Cette partie considère le champ extérieur dans l'approximation
où l'influence de cette répartition est négligeable (cela
correspond à une métrique décrivant les “trous noirs”). Les
conséquences sur les phénomènes physiques au voisinage sont
alors abordés.